• Dans l'Antiquité on pensait pour se divertir.

    Aujourd'hui, on se divertit pour ne plus penser.

    Les temps changent...


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  • En feuilletant mon carnet d'autrefois je suis tombé sur une phrase qui fit référence à la discussion que quelques amis et moi avons partagée hier soir. Au gré des sujets nous sommes tombés sur ce coup de filet récent des membres d'un réseau pédophile. Je n'ai pas bien suivi l'affaire mais ce n'était point là l'important.

    Bien sûr quand on parle pédophilie ce sont toujours les mêmes dégoûts qui renaissent, le mêmes révoltes qui s'ébranlent. Et cette incompréhension générale. (Qui ne serait jamais contestée en public car comme toutes les déviances, la pédophilie se vit dans le secret des coeurs...)

    Mais quel est-il ce coeur rongé par ce désir inadmissible ? Comment ce désir peut-il petit à petit faire son nid là, dans l'intimité de l'être humain ? Et devenir si fort pour qu'on cherche à le satisfaire... Pour qu'on ne puisse s'empêcher de le satisfaire...

    Et quel combat pour la victime de ce désir ! Car je ne peux pas m'imaginer qu'elle ne s'en défend pas. Et le combat doit être titanesque. Heureusement que vous m'avez arrêté, moi-même je n'en étais pas capable avait dit le "sadique de Romont".

    Face à de telles phrases, je crois que nous pouvons nous estimer heureux d'avoir des maladies admises. D'avoir le désir conforme. Car si évidemment ceci est intolérable et bien davantage que la souffrance de la personne qui passe à l'acte, je n'aimerais pas avoir à mener cette lutte interne là. Comme le dit mon carnet d'autrefois :

    Le corps a ses pulsions que la raison ne raisonne point.


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  • Allez ! Puisque qu'apparemment mes optimistes réflexions effleurent avec délicatesse les sensibilités. Encore une petite sentence d'autres âges :

    Si on se donne les moyens de la satisfaire, seule la passion sauve de la débauche. Sinon elle y plonge jusqu'à l'étouffement.


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  • ça y est. Crise printanière passée. De retour de mes aventures et je reprends tout ceci en main dès demain.

    J'en retire dans l'immédiat et me concernant ces deux cuisants constats :

    1-Je n'ai plus vingt ans.

    2- Le blog ne rend pas libre. Bien au contraire.


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  • On ne devrait pas dire "Oeuvre d'art" mais "Etat immortalisé".

    La qualité d'une oeuvre dépend de la qualité des états d'être.


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