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Mais une femme
Mais une femme très belle se poste quelque part et je la pénètre
à travers des murs à travers des fondations.
Perpendiculairement à l'axe des épées qui se figent
j'entre en elle.
Là-haut des mains se figent et se fanent.
Mon épée la transperce
à travers cette muraille muette
qui crie qui hurle
et saigne abondamment.Vital Bender
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